Témé Tan

Vendredi 26/09 – Place des Carmes  - 20h30

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Un cocktail d’afropop, de world, de funk et de soul; des rengaines épicées pour un groove ensoleillé.

 

Témé Tan est le pseudonyme de Tanguy Haesevoets. Ses racines et influences font de sa musique un mélange unique de styles musicaux sonnant à la fois soul, world et electro-pop.

 

En 2011, il enregistre “Matiti” par ses propres moyens avec Gérard Dubru, Magali Roba et Eric Chardon (Astoria).  Son premier album remonte aux racines de son auteur, avec des influences africaines assumées. Au mois de mars 2012, Tanguy décide de s’envoler au Brésil quelques mois pour travailler de nouvelles compositions à Rio de Janeiro. Depuis la capitale carioca, il sort un EP de reprises via internet dont il assure la promo à coup de clips ensoleillés. “Quatro” élargit le public de Témé Tan. Depuis son retour de Kinshasa en septembre 2013, il se produit seul entouré de loopeurs et de sampleurs dans un set pêchu et dançant.

 

Témé Tan, alias Tanguy Haesevoets, né à Kinshasa, a débarqué en Belgique à l’âge de 6 ans pour y tailler son profil longiligne de basketteur. Un premier album en 2011 (Matiti), un EP récemment (Quatro), et aujourd’hui un nouveau titre – un single, on appelait ça dans une autre vie -ficelé avec le fidèle Noza.  Améthys est un petit moment de grâce. Une sorte de comptine au groove afro-pop minimaliste et contagieux, en français dans le texte. Le clip est à l’avenant : chaleureusement mélancolique, une sorte de sucrerie pastel en super 8, motifs à wax filtrés à l’Instagram. ” Raconte-moi que pour 2 longueurs tu me donnes un ‘bazooka’ “… A la fin de la vidéo, une photo : Améthys, c’est elle, Cécile Verstraete, la maman de Témé Tan, décédée en février dernier. Son fiston lui rend hommage avec une chanson, aussi pudique que touchante, sorte de fanfare ” second line ” intimiste, les cuivres de la Nouvelle-Orléans en moins. Superbe.” Laurent Hoebrechts.

 

“Il est un jeune garçon bourré de talent dont on croise déjà les rengaines épicées depuis un bon moment. Né Tanguy Haesevoets à Kinshasa, il débarque en Belgique à l’âge de six ans, basketteur, et donc décidé à enchaîner les paniers, mais également déjà, de musique, passionné. De son enfance africaine et de ses nombreuses pérégrinations, Témé Tan puise ses racines dans la world et l’afropop, puis les trempe aussi dans la soul et le funk. Un cocktail gorgé de soleil qui enivre et un sens du groove inné, qui fait de chacune de ses compos un puissant antidote à la morosité. En 2011, le Bruxellois d’adoption publie en indé – et dans une indifférence relative déjà injustifiée – un premier manifeste baptisé “Matiti”, du nom des herbes hautes du Congo où ils avaient jadis l’habitude de jouer. Un disque introducteur mis en boîte avec le concours de Gérard Dubru, Magali Roba, Eric Chardon, Robin Marsily et Joachim Glaude. Sur scène, ce multi-instrumentiste à le don de dénouer les déhanchés et d’assouplir les genoux, à grands renforts de rythmiques syncopées. ”  Nicolas Capart

 

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