Electric Vocuhila (F)

Ve 22/09 – Place des Carmes – 21h30


Un appel joyeux et urgent à la danse.

Né en duo saxophones/batterie à Berlin en 2009, devenu 4tet électrique en 2011, Electric Vocuhila mêle des rythmiques inspirées de diverses musiques urbaines africaines comme le sébène congolais, l’éthio-jazz et le tsapiky malgache, à une conception orchestrale issue du jazz et plus particulièrement de la musique harmolodique d’Ornette Coleman.


Sur une base rythmique obstinée mais toujours mouvante, tour à tour hypnotique et frénétique, leur musique se construit librement autour de motifs répétitifs. Recherchant à la fois la concision mélodique et une forme de débordement ou de transe, le quartet développe de longues séquences faites de thèmes fulgurants, de phrasés sinueux, de riffs acérés et explosifs.

Leur 3ème album “Kombino Splito” est sorti le 28 Juin 2017.

 

PRESSE

  • « Electric Vocuhila démarre avec un calypso joyeux et enlevé. Une guitare, une basse électrique, un alto et une batterie suffisent à faire entrer tout le monde dans la danse : oubliée la fatigue de fin de soirée (…) et c’est à une ronde de musiques hypnotiques d’Afrique et d’Amérique — sur lesquelles plane l’ombre d’Ornette —qu’Electric Vocuhila entraînera un public ravi jusqu’au bout de la nuit… ou presque. » –  JazzMagazine
  • « La musique d’Electric Vocuhila est une déflagration sonore, de celles qui vous irradient et se propagent dans tout votre corps. Impossible de résister à l’appel de la danse : nous sommes happés par une pulsation démentielle. » – Julien Aunos pour Citizen Jazz
  • « Il y a dans la musique de Vocuhila une frénésie urbaine qui évoque le fantasme des townships survoltés d’Afrique du Sud, mais également les joyeux exutoires de la musique populaire d’Afrique de l’Ouest, celle d’un Orchestra Baobab qui aurait tourné free. […] mais le quartet cherche avant tout une transe, même mutante, au coeur de la pulsation. On y trouve de tout : des fausses routes, des clins d’oeil, des exultations électroniques, des explosions joyeuses. Si on ne danse pas, c’est qu’on est mort. » – Franpi Sunship